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Ramazan Kurt Kurt itibaren Kebondalem, Jambu, Semarang, Central Java, Endonezya itibaren Kebondalem, Jambu, Semarang, Central Java, Endonezya

Okuyucu Ramazan Kurt Kurt itibaren Kebondalem, Jambu, Semarang, Central Java, Endonezya

Ramazan Kurt Kurt itibaren Kebondalem, Jambu, Semarang, Central Java, Endonezya

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Kat Bishop just wants a normal life. School, homework, set menus in the cafeteria. Predictability. Predictability is a little hard to come by when you’ve been raised in a masterclass high-end family of thieves, but Kat’s walked away from all of it and stolen a life as a normal student at a boarding school. Until her father’s life is endangered by a mob boss convinced Bobby Bishop stole several very important paintings from him. Then, with nothing but a teenage crew and some skills that have gone more rusty than she’d like to admit, Kat’s going to have to do the impossible. Preferably with style. Imagine every good movie about high end art thieves you’ve ever seen, every impossible stunt, every mastermind plan…hell, every episode of MacGyver…add in a masterful blend of humor, self-consciousness, and ridiculosity, and then put it all in the hands of a group of teenagers. That’s Heist Society. And it’s brilliant. Comparisons between an author’s different series are somewhat inevitable, but despite some running gags (compare the hilarious names and prop requirements of the stunts Cammie’s crew and Kat’s crew each suggest, discard, or pull off) this book stands strong against such easy assumptions. Cammie has been studying all her life for the chance to get out there and do things; Kat’s been doing things all her life and craves the chance to stay in and study. They have different backgrounds, different outlooks, different goals, and very VERY different views on people. While who to trust is a strong element of both series, the stakes play out along separate roads and twist the stories into different directions. This book is an incomparable use of voice and style. The narration swivels across characters at their different tasks, bystanders, even hypotheticals- the “someone would have seen” can be SO hard to use, even harder to use well, but it works here. It really puts you right into the feel of everything. Appearances can be very deceptive, something Kat and her crew use with precision, and what we don’t see and what we see incorrectly are as important as what we do or think we see. There’s also a high degree of risk- there’s really no such thing as a “safe” plan for these people. Each of the characters are distinct, which can be hard to do in an ensemble cast. They each had distinct talents and comfort zones, each have something specific to bring to the table, but they’re also complex people with the ability to surprise Kat- not to mention their opponents. Gabrielle is amazing. I didn’t want to like her at all because she comes off as such a snot, but there’s a lot more to her than she’s let anyone realize- that she lets Kat and the others see even a bit of that shows how important they are to her. Simon and the Bagshaw brothers aren’t simply lumped together as “the boys”, which can be tempting. And oh, Hale. W.W. Hale the Fifth (Kat’s been trying for YEARS to figure out what the W’s stand for) is rich boy turned bad boy, more the fun of it than any actual need to steal, but this bad boy has a lot more than art and jewels on his mind. Like probably every other female who’s read this book, I totally fell for Hale, mostly because beneath a startlingly thin layer of charm and moneyed boredom, there’s a deep well of vulnerability. (AND- he has Superman pajamas. I’m sorry, but amazingly HOT rich boy with charm, loyalty, a talent for thievery, AND Superman jammies? Droolworthy!) Kat is, I think, the most interesting character Carter’s written yet. She’s short-statured and looks even younger than she is (which can go either way in any given situation), she desperately wants to be normal, and yet takes pride in the skills she’s acquired, even if she’d really rather not use them. She’s clever and resourceful, capable of taking some appalling risks, but she also brings in other opinions. She’s simultaneously confident and self-conscious, one of the few ways in which she really comes off as a normal teenager. And yet…the aging effect of her experiences never makes her seem less of a teenager- just less of a ‘normal’ one. The way she looks at things, the ways she grows, are very much a product of her age and background. Most importantly, there’s something uniquely teenager about the ability to have everyone else telling you no and deciding to do it anyway. This book moves quickly, jumping all over the world in a matter of days, and one of the things I love is just how much work goes into pulling off each and every one of the elaborate heists. Nothing gets to be simple. It’s not as easy as proving to the bad guy that Kat’s dad didn’t steal them, but is instead an ever-increasing array of formidable and at times dangerous tasks that require a vast spread of talents, expertise, and resources. Reading this book made me desperately wish I owned Cary Grant and Grace Kelly’s To Catch a Thief, which I’m pretty sure had to be on the research list. The pages are filled with humor and wistfulness, action and intelligence, loyalty and betrayal, and above all, inimitable characters that step out of the words and sit beside you to comment on everything. Heist Society, by Ally Carter, out in stores and joined by its sequel, Uncommon Criminals (review to follow eventually) Until next time~ Cheers!

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Mon histoire avec ce roman est compliquée, mais surtout inoubliable et exceptionnelle. Il y a peu de livres de que je puisse relire aisément sans me lasser, et cela même si je les ai trouvés extraordinaires. Mais pour "Laurier Blanc", il en va autrement. Il est rare que je ne le lise pas au moins une fois par an. A chaque lecture, un passage différent m'apparaît plus important que les autres, de tel sorte que je n'ai pas l'impression de relire le même roman à chaque fois. Le personnage d'Astrid est extraordinaire, hors-norme; certains ont même dit, peu cohérent en tant que personnage. Je ne suis pas d'accord avec cette remarque. Ce n'est pas parce que nous vivons dans un monde où la culture disparaît peu à peu qu'il n'y a pas de personnes de son âge qui puissent partager les mêmes intérêts qu'elle et voir le monde de la même façon qu'elle. Quant à ses réactions vis-à-vis de ce qu'a fait sa mère, je doute qu'il soit aisé de se poser en juge lorsque l'on ne s'est pas retrouvé dans la dite situation. Tout ce que je cherche à dire, c'est que l'on a souvent jeté la pierre à Janet Fitch pour des raisons qui ne tiennent pas vraiment debout à mon sens. Après, chacun ses goûts et l'on n'aime ou l'on n'aime pas; mais c'est alors affaire de goût et il est inutile de descendre en flèche le roman avec des arguments fallacieux. Revenons à l'histoire et aux personnages, sujet beaucoup plus intéressant et digne d'intérêt. J'ai lu de nombreux avis concernant le roman, nés sous la plume de gens issus du monde entier et je trouve intéressant qu'un grand nombre de ces personnes aient ressenti une sorte d'admiration pour Ingrid Magnussen, et ce malgré tout ce qu'elle a fait et le chemin qu'Astrid a parcouru. Je veux dire par là que Janet Fitch a construit un personnage d'une telle force, d'une telle puissance, que sa personnalité imprègne littéralement le roman, comme si rien qu'en le tenant dans vos mains, la force d'Ingrid s'exerçait sur vous. De tel sorte qu'après quelques pages, l'identification avec sa fille, Astrid, est beaucoup plus facile, voire inévitable. Mais Ingrid est une personnalité tellement compliquée et fascinante... il y aurait tellement de choses à écrire sur elle. Malgré tout ça, c'est d'Astrid dont je me sens la plus proche, au-delà de l'âge bien évidemment. Elle est calme, assez introvertie. Elle s'est créée un monde en elle-même, dont sa mère serait la reine (et peut-être même la déesse) et elle évolue coupée du monde alentour car elle n'y trouve pas sa place. Elle se sent mieux en compagnie d'elle-même, en dessinant des songes et les êtres qui croisent son chemin, comme ces filles qui veulent devenir mannequins et qu'elle croise au travail de sa mère, Cinema scene. Elle erre dans le monde, allant à l'école sans réellement y être, se réfugie chez son voisin adorable et louphoque, espère que sa mère rentrera. Ingrid enchaîne les hommes. Elle refuse toute attache. "Ne laisse jamais un homme passé la nuit". Elle façonne sa fille comme un potier pétrit l'argile pour obtenir la forme désirée. Mais Astrid le dit elle-même, elle aime ça. Sa mère lui prête attention dans ces moments-là. Elle lui fait apprendre des poèmes par coeur, une manière, dit-elle, de se préserver de la lente décadence du monde. La vie d'Ingrid et d'Astrid s'apparente à un haïku: un aspect simple, froid, austère en quelque sorte, une apparente simplicité qui est en fait un leurre qui cache une poésie profonde, une méditation sur le monde, une extrême rigueur et surtout une beauté sans partage. Tout bascule quand Barry Kolker fait son entrée sur scène. Il est à l'opposé de ce que recherche Ingrid chez un homme et jamais Astrid n'aurait pensé qu'elle lui donnerait une chance ou ne lui prêterait attention. Seulement voilà, le destin ou n'importe quoi d'autre, en a voulu autrement. Et tout a changé. Trahisons, mensonges, blessures... Ingrid le tue. Poison. Insidieux, silencieux, comme une blessure au coeur. Après cela, Ingrid est condamnée à la prison et Astrid se retrouve trimballée de famille d'accueil en famille d'accueil, de plus en plus seule, tâchant au mieux de ne pas se perdre. Il y a d'abord la famille de Starr Thomas et son compagnon que tout le monde appelle l'oncle Ray. Une quête du père peut-être qui conduira Astrid à reçevoir une balle dans la poitrine et de frôler la mort, et à goûter au fruit défendu, dans une extase proche de la disparition. Puis il y a d'autres familles, toujours plus cruelles envers elle, surtout Marvel, car elle y est considérée comme une moins que rien, au-dessous même des animaux domestiques. Une fois, elle est même privée de manger pendant des semaines, et se voit contrainte de fouiller dans les poubelles du lycée pour ne pas mourrir de faim. Seule lumière, aussi brêve qu'une luciole dans le noir de la nuit, Olivia, "pute de luxe" comme dit Marvel, qui rappelle à Astrid que la beauté existe, mais qu'elle nécessite de se battre pour elle. Et puis arrive Claire. Comme un astre dans la vie d'Astrid, un météore brillant qui illumine sa vie, même si Claire a des problèmes. Dépressive, suicidaire, convaincue que son mari la trompe alors que c'est faux, elle baigne dans une mélancolie constante en même temps qu'elle montre à Astrid ce que c'est qu'être aimée par quelqu'un et c'est le plus beau cadeau que l'on puisse faire à un individu. Un cadeau qui sera en partie effacé par le suicide de Claire. Et Ingrid dans tout ça? Elle écrit des lettres à Astrid, la voit de temps en temps lors de visites assez peu nombreuses et tente au mieux de ne pas laisser échapper sa fille qui elle, cherche à tout prix à se libérer de son emprise. Ingrid est forte, même en prison. Elle est sarcastique, indifférente et elle continue à écrire des poèmes en prison, qui ont un succès fou. Le prix de la rédemption? Refuser qu'Astrid fasse un faux témoignage pour elle lors du procès d'appel. Ingrid accepte au dernier moment et tout rentre dans l'ordre entre Ingrid et Astrid, une sorte de face à face prend fin. Mais sont-elles les mêmes? Certainement pas, quelque chose s'est brisé, un nouveau monde s'est contruit dans un bel équilibre. L'écriture de Janet Fitch est splendide. C'est en quelque sorte de la prose poétique sans que ce soit lourd à lire. C'est simplement de la pure délectation et je suis heureuse d'avoir lu un roman où la jeunesse est montrée avec une certaine richesse et complexité, au-delà de tous les clichés habituels. Peut-être que comme certains ont dit, Astrid ne peut pas exister en réalité, mais je ne pense pas que ce soit impossible. De toute manière, c'est un roman, alors quelle importance? Je sais juste que ce roman a changé ma vie, il m'a sauvé la vie dans une période où je ne croyais plus en rien. Et je doute qu'un livre qui ne soit pas extraordinaire soit à même de faire ça. Poésie, musique, dessin, peinture; un véritable éveil au monde, à l'amour, à l'art, à l'indépendance, à ce qu'elle peut coûter. Un roman sur ce que signifie grandir, pas seulement pour Astrid mais pour beaucoup d'autres personnages du roman. La complexité des rapports humains, et comment une rencontre peut bouleverser votre vie en bien ou en mal. "Les perles n'étaient pas d'un blanc pur, mais du beige irisé de l'huître. Entre chacune d'elles, de petits noeuds pour n'en perdre qu'une en cas où le collier se briserait. J'aurais voulu que ma vie soit ainsi faite, avec des noeuds qui, s'il y avait rupture, l'empêcheraient de tomber en morceaux."

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This book shows a painful fact in Iranian society. I think this book has some valuable lessons for us. In hamoon dastane ghadimye pedar koshi va pesar koshi dar Iran ast,inke beshinim az khodemoon tarif konim ke ma irani ha chenin hastim o chonan hastim dardi ro az ma dava nemikone, migan ye soozan be khodet bezan ye jovaldooz be digaran...

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Splendid! Anyone who has ever collected anything will find something to enjoy in this book. I particularly felt the excitement when Wimbledon stumbled upon a huge barn converted into a used bookstore in the middle of nowhere, and the sadness upon returning to the place only to discover it closed.